Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (3Ème Partie)
Le surlendemain de ma première expérience dadultère, vers midi, je reçus un coup de fil de Mouloud,
mon premier amant. Il mexpliqua quil voulait me faire connaître un couple ami, avec lequel
jallais vivre dautres moments intenses de plaisir. Il me donna rendez-vous à seize heures devant
le lycée. Il arriva à lheure.
- Tu rencontreras des personnes merveilleuses. Je suis sûr que tu les aimeras énormément. Il
sagit dun couple mixte qui mène une vie érotique complètement dissolue (au regard de la morale
ambiante). Ce sont de vrais libertins, ouverts à toutes les expériences.
Mouloud ne men dit pas plus. Dailleurs, je nen demandais pas plus. Tout ce qui mintéressait
cétait de revoir mon beau pirate et de revivre avec lui les merveilleuses sensations quil mavait
fait connaître, deux nuits auparavant. Bien entendu que jétais curieuse de faire connaissance avec
ses amis. Mais pas plus que cela ! Cétait avant tout Mouloud que je voulais revoir - et revivre
avec lui les moments intenses dérotisme quil mavait fait connaître. Sa force et sa brutalité me
manquaient déjà beaucoup. Et les orgasmes successifs que javais eus avec lui étaient restés très
fortement imprimés dans ma mémoire. Je voulais en avoir dautres. Dabord avec lui. Et puis, si
daventure, il me présentait un autre homme, du même acabit que lui, jétais preneuse ! Mais je ne
me faisais pas trop dillusions : des pirates comme Mouloud, jétais certaine quil nen existait
quun seul exemplaire.
Javais tout faux ! Ce diable dhomme allait mouvrir une autre porte et me faire découvrir un autre
monde, fait de merveilles et dérotisme torride, dont je ne soupçonnais même pas lexistence. Je ne
croyais pas quil pouvait exister en Algérie - pays traditionnellement puritain, traversé depuis une
trentaine dannées par un tsunami de rigorisme islamiste - des personnes vivant, certes
discrètement, dans un monde dérotisme débridé.
vieil immeuble cossu, construit au centre dAlger, pendant la période coloniale. Mouloud appuya sur
un des boutons de linterphone situé devant le portail dentrée du bâtiment, annonça sa présence à
la voix nasillarde qui le questionnait et jentendis le déclic électrique qui ouvrit le portail.
Nous montâmes les larges escaliers jusquau deuxième étage et nous nous retrouvâmes face à une
magnifique sirène blonde, dune quarantaine dannées, qui nous attendait devant la porte ouverte de
lappartement. Elle embrassa Mouloud tendrement sur les deux joues, me regarda avec ses grands yeux
bleus et, en menvoyant un large sourire lumineux, me dit «Marhaba !»
Elle mavait souhaité la bienvenue en arabe, mais elle avait un accent à couper au couteau. Un
accent de lEurope de lest. Une russe, me dis-je en moi-même, avec au fond de moi un fort pincement
au cur. Un pincement de jalousie. La femme était vraiment superbe! Elle ne portait quune petite
tenue dintérieur coquine, qui ne cachait rien de son anatomie et de ses appâts naturels. Et des
appâts, elle en avait à revendre, qui apparaissait dessous sa nuisette dont la couleur noire mettait
en valeur sa blondeur naturelle et la blancheur de sa peau. En dessous, elle ne portait rien, sinon
un string, lui-aussi de couleur noire, qui se devinait plus quil ne se voyait sous la soie sombre
de la nuisette. Dévidence, elle avait été une grande sportive dans sa jeunesse ; elle en gardait la
musculature et même lallure. Elle était grande plus grande que moi dau moins cinq centimètres -
avec des épaules larges, une taille qui sétait un peu alourdie (probablement leffet dun sport,
dont elle avait arrêté le pratique intensive) mais dont les chairs semblaient encore très fermes,
des hanches larges, de longues jambes superbement galbées et des fesses rondes, rebondies et fermes.
Je ne parle pas de sa poitrine généreuse, dont les seins nus sous la nuisette, pointaient vers
lavant, tels de merveilleux obus de canons.
Je ne pus empêcher un brin de jalousie venir sinsinuer en moi. Je ne métais jamais réellement
considérée comme une femme très belle. Javais toujours su que jétais jolie et que je plaisais aux
hommes. Je savais aussi que je faisais bander beaucoup de mes collègues. Javais été confortée dans
cette idée par létat dérection permanente de Mouloud quand il était avec moi. Mais en voyant la
bombe blonde qui se tenait devant nous, je me sentais laide. Et surtout je commençais à douter de
moi. Ni Mouloud, ni quelquun dautre ne pouvait flasher sur moi, à côté dune aussi belle plante.
Surtout que tout en elle indiquait un immense appétit de sexe. Ses immenses eux bleus azur
brillaient de concupiscence à la vue de mon pirate. Sa grande bouche ouverte sur des quenottes
danimal prédateur et ses lèvres magnifiquement ourlées, ressemblant comme deux gouttes deau à une
magnifique chatte qui feraient bander nimporte quel homme, étaient de vrais pièges à fantasmes.
Mouloud ne mavait rien dit auparavant de la beauté de la femme. En fait, il ne mavait rien dit du
tout sur les personnes qui vivaient dans cet immense appartement. Il mavait seulement dit quil
sagissait dun homme et dune femme aux murs particulières.
- Je te présente Raïssa. Elle est ukrainienne. Voici Kamila, la belle femme dont je tai
parlée !
- Bonsoir ! Fit-elle avec son délicieux accent slave. Mouloud ma beaucoup parlé de toi ! Il
navait pas tort, tu es vraiment magnifique ! Mohand va se régaler ! Comment me trouves-tu ?
- Superbement belle ! Je suis jalouse ! Qui est Mohand ?
- Mon mari ! Il attend à lintérieur. Suivez-moi.
Elle nous devança en balançant son superbe cul (certainement pour aguicher Mouloud, qui ne la
quittait pas des yeux) et nous amena vers un immense salon dans lequel se trouvait, assis sur un
immense canapé, un homme dune quarantaine dannées, qui, malgré sa position assise, me paraissait
très grand.
long nez, si caractéristique aux hommes de la région et surtout, dès quil se mit à parler, à son
accent chantonnant. Raïssa fit les présentations, et sans plus soccuper de moi, prit Mouloud par
la main et lentraîna dans une autre chambre.
Je restais seule avec Mohand. Lhomme, qui sétait levé pour maccueillir, tendit sa main - qui me
semblait avoir les dimensions dune raquette de tennis - et déposa un léger baiser sur le dos de la
mienne, à limage des baisemains pratiqués dans les sociétés aristocratiques occidentales. Il
semblait très à laise. La position debout quil avait maintenant, confirma quil était très grand ;
une taille proche du mètre quatre-vingt-dix, jaugeai-je sur le moment. Il était vêtu dune espèce
de peignoir en forme de kimono - en soie (ou en satin) de couleur bleu-foncé, qui sarrêtait
juste au dessous des genoux et qui mettait en évidence ses formes athlétiques: des épaules larges,
une taille fine, des hanches étroites. Il se dégageait de lui une forte impression de puissance ;
une espèce de force tranquille. Son visage taillé à la serpe était remarquable. Il était loin dêtre
beau, mais il se dégageait de lui un véritable charme. Je ne sus pas immédiatement ce quil avait de
particulier, qui le rendait auissi attirant : sa grande bouche gourmande, légèrement posée de
travers sur son visage ; ses petits yeux ronds, brillants et moqueurs ; son front haut et dégagé ;
son menton vigoureux ; ses cheveux coupés courts (jappris un peu plus tard quil était officier
supérieur dans larmée). Cétait probablement tout cela, mis ensemble, qui formait un cocktail
rendant lhomme particulièrement intéressant et, pour moi, super attirant.
Nous discutâmes quelques minutes de la pluie et du beau temps. Il cherchait certainement à me mettre
à laise et ne pas meffaroucher en se jetant sur moi comme une bête mal éduquée.
de Raïssa et de la manière dont ils sétaient connus et mariés. Il mapprit quelle était
ukrainienne et quil lavait épousée alors quil faisait ses études à lacadémie militaire de Kiev,
il y avait une quinzaine dannées. Puis, petit à petit, il amena la discussion sur le seul terrain
qui comptait pour nous deux : le sexe.
- Tu sais ce quils sont entrain de faire dans la chambre à côté ?
- Lamour ?
- Non, ils sont entrain de baiser comme des bêtes ! Raïssa a tout de suite flashé sur la belle
queue de Mouloud. Et surtout de sa manière particulière de sen servir.
- Pourquoi, la tienne nest pas aussi imposante ?
- Tu veux voir ?
- Bien entendu ! Je suis ici pour ça ! Mouloud ma assuré que jallais vivre des moments
exceptionnels avec toi ! Tu me montres ?
Je ne savais pas ce qui sétait passé en moi. Je ne me reconnaissais plus ! Jétais devenue, après
une seule nuit passée avec Mouloud, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le
vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, cétait que je me
sentais parfaitement à laise. Il ny avait pas la moindre gêne en moi. Cétait comme si javais
toujours vécu ainsi : comme une pute ! Une qahba ! La preuve ? Je nattendis même pas quil fasse le
moindre geste pour se dénuder. Je men occupai moi-même. Je tendis les mains vers la ceinture en
soie (ou en satin ; je ne savais pas faire la différence) et la défis en un clin dil. Jécartai
les pans du peignoir et découvris le côté face du corps nu de lhomme. Il était exactement comme je
lavais deviné sous le tissu : tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules,
ses muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles dun homme qui
pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Un militaire qui
éliminait systématiquement toutes les toxines des repas trop consistants du mess (ou de sa femme) et
qui gardait une forme irréprochable.
Et entre ses jambes, lobjet de mes fantasmes ! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que
celui de Mouloud, mais avec une forme différente. Un véritable sabre recourbé, une espèce de
yatagan, avec un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il
était dressé vers le plafond. Il paraissait très ferme et très dur. Et il frémissait ! Lhomme avait
gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe - la hampe et
même les bourses - était soigneusement épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là
allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Mohand me laissa
faire un court moment, puis pris ma main pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux
petits gémissements presque inaudibles quil poussait, quil aimait cette entrée en matière. Il
semblait de plus en plus excité et son sabre palpitait de plus en plus fort sous ma main.
Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Quest-ce quil voulait me faire ou que je
lui fasse - en priorité. Jétais tentée de me mettre tout de suite à genoux devant lhomme et de
moccuper de le faire jouir avec ma bouche. Dun autre côté, je voulais voir - et sentir - le
magnifique engin prendre possession, à la hussarde, de lun de mes trous. Je coulais littéralement.
Je sentais ma culotte qui se mouillait et qui avait du mal à retenir tout le jus que ma chatte,
palpitante de désir, produisait. Ce fut Mohand, qui régla le problème en me susurrant à loreille :
- Bright en-nikek bel wagfia ! (Je veux te baiser debout !)
Je me fis la réflexion que je navais encore jamais été baisée comme cela ; debout. Même pas par
Mouloud. Cette idée dêtre tirée dans cette position sinsinua dans mon esprit et accentua encore
plus mon excitation. Je voulais quil le fasse sans plus tarder.
- Nik-ni bel wagfia ! Dekhel sif taâek fi sawti! Khardjouh men foumi! (Baise-moi debout!
Introduit ton sabre dans ma chatte ! Fais-le ressortir par ma bouche !)
Mohand était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais
quil voulait y aller en fore. Quil voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Quil voulait me
prendre brutalement, sans même me déshabiller ! Sans même menlever la culotte ! Il voulait y aller
brutalement. Je le voyais à son regard qui perdait de sa douceur et devenait dur. Je le voyais à son
sourire qui avait disparu et qui avait été remplacé par un rictus inquiétant. Beaucoup plus tard,
javais fini par comprendre que cétaient les rondeurs presque impudiques de mon corps (mon cul
surtout !) et ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me
regardaient ou me parlaient, lenvie de me tirer à la hussarde. Cétait ce genre de sentiment que je
déclenchais invariablement chez les hommes. Jétais le genre de femme faite pour être brutalisée.
Quil fallait prendre à la hussarde, pour bien lui montrer qui était le maître. Et Mohand ne faisait
pas exception. Mais il me semblait quil hésitait un peu, pensant que je nallais pas apprécier son
comportement de brute. Le pauvre ne savait pas encore que jadorais être brutalisée et avoir mal.
- Wech testena ? Werili qouwat zebek ! Dekhelhou-li ! (Quest-ce que tu attends ? Montre-moi
la force de ton zob ! Enfonce-le moi !)
Il souleva le bas de ma jupe pour la remonter sur mon ventre, attrapa ma jambe droite en dessous du
genou, la remonta très haut, et me souleva denviron une dizaine de centimètres au dessus du sol,
pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche sinsinua entre mes
cuises et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière décarter ma culotte pour
permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine. Et puis
tout chavira ! Je sentis mon homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la
tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. Dun coup violent, il me
pénétra jusquau fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale
et douloureuse. Moi qui voulais sentir la force du sabre, jétais servie ! La position verticale
ajoutait beaucoup dintensité à la force de lengin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Mouloud aussi mavait fait mal en me tirant furieusement lavant veille. Il mavait même éclaté le
cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais les douleurs de cette
nuit nétaient rein à côté de celle que provoquait le sabre qui était entrain de me déchirer la
vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Mohand
allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. A chaque pénétration, il poussait un « han !
» aussi sonore que ceux que devait pousser un bûcheron qui sattaquait à un arbre centenaire. Il ne
disait rien de vraiment compréhensible. Il marmonait entre ses dents des mots que javais du mal à
distinguer clairement. Il me semblait quil me traitait de tous les noms doiseau, pendant quil me
défonçait le con. Je devinais, plus que je nentendais :
- Cheddi ya qahba ! Cheddi zebi ! Et-habi zeb ! En-tiya qahba ! Gouli-li « ana qahba » ! Gouli
! (Att espèce de pute ! Att mon zob ! Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis
une pute » ! Dis-le !)
Mon excitation, déjà à son paroxysme, augmenta dun cran à lécoute des mots à peine audibles, crus
et avilissants que Mohand prononçait, plus pour lui-même que pour moi. Javais envie de lui répondre
sur le même registre, mais je nosais pas encore. Javais envie de lui hurler de pousser encore plus
fort et de sortir son immense zob par ma bouche. Javais envie de hurler les mots crus qui me
venaient à lesprit et qui avaient du mal à sortir de ma bouche. Je me contentais pour le moment de
pousser un cri de satisfaction à chaque fois que le sabre de mon homme pénétrait en force dans mon
tunnel. Jécoutais le bruit impudique que faisait le sabre de Mohand en allant et venant dans mon
vagin. Il devait y avoir plusieurs litres de jus à lintérieur. Mon vagin était devenu une usine à
produire de la cyprine, que je sentais séchapper de dessous mes grandes lèvres et aller sétaler
par terre. Les clapotis que jentendais ajoutaient de lintensité au plaisir que je prenais et à
mon désir de hurler pour pousser mon homme à y aller encore plus fort. Et puis ny tenant plus, je
me mis à débiter, en haletant, des bribes de phrases qui avaient du mal à sortir de ma bouche, tant
mes pensées se télescopaient dans ma tête.
- Zid ! Zid ! Zid edjbed ! Zid nik qahb-tek ! Qahba ! Wellit qahba ! En-hab en-koun quahba !
En-hab zebek ! En-heb zboub kima en-taêk ! Nik-ni ! Zid nik-ni ! (Encore ! Encore ! Tire encore !
Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute ! Jadore être une pute ! Jadore ton
zob ! Jadore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer !)
Le magnifique sabre recourbé de Mohand continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité.
Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. Non
seulement, il continuait de me faire mal à chacune des pénétrations brutales, mais en plus, les
frottements incessants du gland sur les parois de mon vagin transformaient lengin en véritable
tison incandescent. Javais mal. Mais que cette douleur était agréable ! Jétais accrochée à la
nuque de Mohand comme une noyée saccrochait à une planche de salut. Et je continuais de recevoir
avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais quil
fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes; et je pesais assez lourd. Je
sentais quil était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
- Ma tefegharch dhork ! Estena chouya ! Kemal hakdha ! Kemal nik-ni belwagfiya ! En-mout aâla
nika bel wagfiya ! Khelli qahbetek et-faghar keblek ! Zid nik ha ! En-has zebek ki seffoud fi
saouwti ! Khardjouh men foumi ! (Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue
comme-ça ! Continue de me baiser debout ! Jadore la baise debout ! Laisse ta pute jouir avant toi !
Continue de la baiser ! Je sens ton zob comme un tison incandescent dans ma chatte ! Fait-le sortir
par ma bouche ! )
Mohand revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage
de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes. Ce fut,
je crois une merveilleuse cacophonie de mots et de bribes de phrases indécentes, qui ajoutèrent une
très forte dose à lintensité du plaisir que nous vivions.
- Cheddi zeb ! Zzzzeeeeb ! Zzzzebiiiiiiiiii ! Zebi fi saouwtek ! Saouwtek ! Achal mliha saouwa
! Mliha saouwtek ! Embaâed en-nikek melour ! Men gaârek ! Ki en-kemal be saouwtek, en-kessar-lek
gaârek! Zebi yehab i-nik ensa! (Att un zob ! Zzzzzob ! Zzzzobiiiiiiiiii! Mon zob dans ta chatte
! Ta chatte ! Comme cest bon une chatte ! Ta chatte est super bonne ! Après, je vais te tirer par
derrière ! Par ton cul ! Quand jen aurai fini avec ta chatte, je te défoncerai le cul ! Mon zob
adore niquer les femmes !)
Les mots et les phrases quil prononçait, en me tirant avec de plus en plus de force, eurent sur moi
leffet dun puissant aphrodisiaque. Mon excitation et mon plaisir grandissaient avec les mots qui
sortaient de sa bouche. Et jy répondais, sur le même ton !
- Zzzzeb ! Zzzzzeb ! Zzzzeb ! En-hab ezzzzzboub!
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi, jusquà atteindre des
sommets que je navais encore jamais atteints de ma vie. Et puis lorgasme arriva avec la force
dun torrent en furie. Je maccrochais encore plus fort à la nuque de mon homme et posai ma tête sur
son épaule. Jeus tout de suite envie dy mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser
la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et jadorais ! Je lui
rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Il nallait tout de même pas me
reprocher de lui rendre la pareille et dy prendre du plaisir ! Je le sentis qui se crispa une
fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin. Et soudain, je
déchargeai. Je retirai mes dents plantés dans lépaule de mon amant et me mis à hurler comme une
folle des dizaines de « oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible.
Je me sentis entrainée dans un tourbillon qui tournait de plus en plus vite autour de moi et
memmena rapidement au bord de lapoplexie. Si je navais été retenue par le mur contre lequel
Mohand mavait plaquée et immobilisée et, sil ne mavait pas empoignée le dessous du genou pour
remonter ma jambe, jaurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Mohand continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant et en prononçant des mots que je
nentendais presque plus, tant ils semblaient avoir de la peine à dépasser la limite de ses lèvres.
Il était toujours question de « Qahba ! », de « Zeb ! », de « Hatchoun ! » de « Zal ! » (« Pute »,
« Zob ! », « Chatte ! », « Sperme ! ») . Et puis, tout sarrêta subitement. Il y eut un silence qui
dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de
la gorge de lhomme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à
lintérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe
gauche et allait sétaler par terre sur le carrelage.
Vaincu par la fatigue, il sortit son sabre, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par
terre. Il tomba à genoux, en mentraînant avec lui. Il ne voulait pas me lâcher. Il sallongea sur
le carrela et me serra très fort contre lui. Jétais maintenant allongée sur lui. Il bandait
toujours aussi fort. Son sabre était resté entre mes cuisses. Je le sentais qui continuait de
palpiter. Je me fis la réflexion que le zob de cet homme devait être fait en acier; pas en chair !
Nous restâmes ainsi fortement enlacés quelques minutes, puis je sentis les mains de Mohand se mettre
en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à loreille quil avait encore envie de moi et quil voulait maintenant me
sodomiser. En fait il nutilisa pas cette terminologie; il me dit simplement quil avait envie de me
baiser par derrière ; « melour ! ». Cétait, me semblait-il, une formule qui lexcitait plus que le
mot plus juste de « sodomiser ». Certains mots et formules crus, dits en arabe (ou en kabyle)
avaient sur Mohand un très fort effet aphrodisiaque. Tout en continuant de parler de mon cul («
aquerquourim » en kabyle), de mes fesses (« tramek » en arabe), de mon trou de balle (« gaârek » en
arabe), il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un
doigt qui sarrêta longuement à lentrée de mon anus et qui sy insinua.
- Qahba, trig mehloul ! Mehloul bezzaf ! Mouloud li hel houlek hakda ? Hebiti? (Pute, le
chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! Cest Mouloud qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?)
- Mouloud li tarteg-li gaâri ! Ou mazel yewdjaâ fiya ! Ma nen-djamch ne gouaâd ! Ou en-ta
tezzid-li ! Bezeb hadha teqtel-ni ! (Mouloud qui ma éclaté le cul ! Et il me fait encore très mal
! Je ne peux même plus massoir ! Et toi, tu veux ajouter à la douleur ! Avec un tel zob, tu vas me
!)
Mohand ne fit pas de commentaires sur la douleur quil allait mimposer. Jétais sûre que cette
perspective le faisait bander encore plus. Il se leva, me tendit la main pour me faire lever moi
aussi et me porta jusque sur le canapé, qui se trouvait à quelques mètres de nous. Il me fit assoir,
releva les pans de ma jupe quil roula en boule sur le bas de mon ventre (je me rendis subitement
compte que, pendant tout le temps que nous avions passé ensemble, il navait jamais cherché à me
déshabiller) et marracha violemment la culotte. Je ne me posais aucune question. Jattendais.
Jattendais impatiemment la suite. Je me demandais seulement comment il allait sy prendre pour
menculer dans cette position. Mouloud, pour me sodomiser mavait mise à quatre pattes. Mohand, lui
voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et
les replia de part et dautre de ma poitrine.
Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je
sentais palpiter. Il allait menculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que
jallais pouvoir admirer le magnifique sabre qui entrera et ressortira de mon cul. Jusque là je
navais fait que le sentir en moi. Maintenant jallais pouvoir le regarder prendre possession de
moi. Ce sera certainement délicieux ! Et ce le fut !
Mohand plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, quil étala
autour de mon anus palpitant. Il refit lopération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci
deux doigt dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son
gland, en forme de tête de champignon, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses
hanches.
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi sif en-taâ Mohand ! Dhork ikessarlek gaârek ! Akemi chareggh ! Ami
chereggh akhouzidh-im ! (Prends espèce de pute ! Prend le sabre de Mohand ! Il va te démolir le cul
! Il va te déchirer ! Il va te déchirer le cul !)
Il utilisait indifféremment larabe et le kabyle pour me montrer létendue de son désir. Dès quil
pénétra dans mon anus, le sabre de Mohand avait réveillé la douleur de lavant-veille. Javais le
cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de
mon trou était divin ! Il ny avait rien de plus délicieux que le plaisir que me donnait cet immense
zob qui prenait possession de moi, qui emplissait mon boyau, me faisait atrocement mal en frottant
violemment sur la paroi rectale et me brûlait comme un tison incandescent. Le spectacle de ce zob
qui entrait et sortait de mon cul, ajoutait une très forte dose à lintensité du plaisir qui
menvahissait. La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille
du spectacle que javais sous les yeux. Mohand faisait maintenant sortir totalement son engin de mon
cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à lassaut de
mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente. Et il accompagnait chaque poussée
par un commentaire presque insultant pour moi, mais tellement excitant !
- Khoudi ya qahba ! Khoudhi zeb sidek ! (Prends, espèce de pute ! Prends le zob de ton
seigneur !)
Jétais au paradis ! Je pensais avoir connu, lavant-veille avec Mouloud, le paroxysme du plaisir,
et je ne pensais pas quil pouvait y avoir plus que cela. Pourtant, Mohand trouva le moyen dajouter
une dose supplémentaire au plaisir. Il prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un
mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
- Heki saouwtek ! Benyetti ha ! (Caresse-toi la chatte ! Branle-la !)
Il voulait que je me masturbe en même temps quil menculait. Cette idée me parut tout de suite
merveilleuse. Jintroduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une
double pénétration ! La sensation que me procuraient le sabre de Mohand allant et venant
furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même
mouvement dans mon vagin, étaient indescriptible. Le paradis sur terre ! Et le frottement de mes
doigts sur lengin de Mohand, à chaque fois quils se croisaient à travers les parois rectale et
vaginale, créait en moi - en nous - une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un
immense rugissement de plaisir.
Jaurais donné le reste de ma vie pour que cela dure longtemps, très longtemps. Mais aucun de nous
deux ne put arrêter lorgasme qui fonçait sur nous, tel un ouragan. Ce fut moi qui déchargeai la
première. Javais limpression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais
fortement et avais ouvert la bouche très grande pour avaler un maximum dair, comme si javais peur
de mourir étouffée ! Je ne sentais plus les battements de mon cur. Je crus un moment quil sétait
arrêté. Ma bouche dégoulinait de bave ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et
narrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible. Des tas dimages et didées me traversaient
lesprit, que je narrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir
de ma bouche, cétait une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon
plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Mohand et à me masturber en même
temps.
Mohand qui pendant tout ce temps continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de «
qahba ! », attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement
denfer à lintérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais ; il
ressortait à lextérieur à chaque aller-retour du sabre à lintérieur de mon cul. Il déversa comme
cela, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Je pensais quaprès sa
première éjaculation dans ma chatte, il ne devait plus avoir beaucoup de sperme. Et bien, je métais
trompée encore une fois ! Ce diable dhomme était une vraie fabrique de foutre ! Quand il se retira,
il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui séchappait de mon anus, pour
aller sétaler sur le carrelage en dessous du canapé.
Mohand était sorti de mon cul. Mais il continuait de bander. Le zob de mon homme tenait encore la
super forme ! Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que lhomme allait me
baiser plusieurs fois encore et quil allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
Je commençais même à me dire que je ne serais pas à la hauteur de ses désirs. Je pensais sincèrement
être devenue depuis quarante-huit heures une véritable nymphomane. Mais au contact de la résistance
surhumaine de Mohand, je me rendis vite compte quil me restait encore beaucoup de chemin à
parcourir.
- Tu es fatiguée ? Repose-toi un peu. Tu nen as pas encore fini ave nous !
- Avec vous ?
- Oui avec nous !
Cétait une voix féminine, avec un fort accent, qui venait de résonner. Je levais les yeux et vis
Raïssa, superbe dans sa nudité, qui se tenait debout devant nous, avec à ses côté Mouloud lui-même
tout nu. Je narrivais pas à quitter des yeux, le superbe corps de la femme. Elle avait tout
absolument tout de la vamp hollywoodienne : la blondeur et la blancheur de la peau ; des seins
fermes de jeunes filles, de bonne taille, projetés en avant, tels des obus de canon ; un ventre qui
avait pris un peu dépaisseur, mais qui était encore plus sensuel que le ventre extra plat quelle
devait avoir, il y a encore peu de temps; des hanches larges formant avec ses épaules un 8 presque
parfait ; des fesses de pouliche, rondes, brillantes et fermes; des jambes longues parfaitement
dessinées, avec des genoux ronds et brillants et des cuisses fermes et superbement galbées. Et
merveille des merveilles ! Un mont de vénus bombé, sans la moindre trace de poil et une chatte aux
grandes lèvres longues et dodues en forme de quartiers dorange, avec à son extrémité basse, un
petit orifice en forme de triangle.
Cétait Vénus en personne ! Jétais bien contente dêtre encore toute habillée. Je me voyais mal
toute nue, à côté de cette femme parfaite. Jaurais eu honte, tant je me serais sentie laide en
comparaison. Je ne quittais pas des yeux son entrecuisse, qui, me semblait-il, avait gardé des
restes de sperme et de mouille qui continuaient de dégouliner. Elle avait sur les lèvres un sourire
carnassier et, dans les yeux, une lumière mystérieuse qui brillait. Elle-même était entrain de
regarder ma chatte, qui était restée toute nue exposée aux regards des deux hommes et de la femme et
qui brillait elle aussi de mouille. Inconsciemment, javais gardé la même position que celle dans
laquelle Mohand mavait enculée.
- Il ta prise par derrière ? Il ta certainement fait très mal ! Moi chaque fois quil
mencule, il me fait hurler de douleur ! Il a une si grosse queue! Tu as un beau cul ! Je vais te
le sucer ! Tu veux ?
Je ne mattendais pas à une telle proposition ! La femme était bisexuelle ! Et moi je navais jamais
eu auparavant, daventure avec une femme ou une fille. Je ny avais même jamais pensé. Et lidée que
la superbe femme qui était devant moi voulait me sucer le cul puis certainement la chatte me
paraissait bizarre. Je regardais tour à tour Mohand et Mouloud, comme pour leur demander ce que je
devais faire. Ce fut Mouloud qui mencouragea, en me disant que Raïssa était une amante superbe et
quelle allait me faire vivre dautres sensations exceptionnelles.
Je neus pas le temps de dire quoi que ce soit. LUkrainienne se mit à genoux devant moi et plongea
sa tête entre mes cuisses. Je sentis immédiatement sa bouche qui se posa, telle une ventouse, sur
mon anus et qui se mit à aspirer tout le liquide qui y était resté, entre le sperme de son mari et
mes sécrétions à moi. Aujourdhui encore je suis parfaitement incapable de décrire les sensations
bizarres que me procura la bouche puis la langue qui farfouillait autour et à lintérieur de mon
cul. En même temps, elle me chatouillait et me donnait une irrésistible envie de rire, et dun autre
côté surtout quand sa langue essayait de pénétrer à lintérieur de mon anus elle me faisait un
bien fou. Elle me délassait et enlevait toute la fatigue qui sétait accumulée en moi, depuis que
jétais devenue la proie du fabuleux sabre de Mohand. Je ne pus empêcher une main, puis lautre, de
se poser sur la nuque de la femme, pour la forcer à rester le plus longtemps possible, dans la
place.
Raïssa, continua pendant quelques minutes à me lécher lanus, puis elle fit remonter sa tête et sa
bouche vers ma chatte, à laquelle elle appliqua le même traitement. Mouloud mavait déjà initié au
cunnilingus et javais adoré. Mais celui pratiqué par la bouche de Raïssa était dun genre différent
: plus doux et moins brutal. Plus féminin ! Ses lèvres se promenaient doucement le long de ma fente
; elles montaient et descendaient lentement, sans trop insister. Elles laissaient à sa langue, agile
et pointue, le soin de faire tout le travail de titillement de ma chatte et, surtout, de mon
clitoris qui avait durci sous leffet de lexcitation. Je sentais le désir revenir en moi à la
vitesse dun torrent en crue. Je me mis à bouger mes hanches, pour suivre les mouvements de ses
lèvres et de sa langue à lintérieur de ma chatte.
Raïssa ne se contenta pas de mentreprendre avec sa bouche ; très vite, je sentis sa main
farfouiller entre mes fesses et aller à la rencontre de mon anus. Elle y introduisit deux doigts et
se mit à me branler vigoureusement le cul. Je narrivais plus à me retenir. Non seulement
jaccompagnais sa bouche et ses doigts par un mouvement circulaire de mes hanches pour accroître
lintensité du plaisir que je ressentais, mais en plus, je me mis à hurler, des « oui » sonores,
tout en regardant Mouloud et Mohand, debout devant nous, se caresser le zob, en observant le
spectacle de deux femmes entrain de se faire plaisir.
- Lahsilha hatchounha heta en-tiya !! (Lèche-lui la chatte, toi aussi!)
Cétait Mohand qui mordonnait de moccuper, moi aussi, de la belle chatte de Raïssa. Cela me parut
une excellente idée. Je tirais sur les cheveux blonds de ma partenaire, pour lui faire relever la
tête et lui demander de se retourner, pour que lon se retrouve toutes les deux en position tête-
bêche. Elle eut un merveilleux sourire de contentement et fit ce que je lui demandais. Nous nous
retrouvâmes ainsi nos deux têtes plongées chacune entre les cuisses de lautre. La chatte de Raïssa
sentait si bon ! Elle avait en même temps le parfum naturel dune chatte bien entretenue et celui du
sperme de Mouloud, dont elle dégoulinait encore. Je me mis à lécher et avaler et le foutre qui se
trouvait encore à lintérieur du vagin et tout le jus que la femme sécrétait naturellement. Cétait
absolument délicieux ! Dautant que je sentais que de son côté, lUkrainienne appréciait ce quelle
trouvait à lintérieur de ma chatte et quelle avalait goulument.
Nous continuâmes comme cela pendant longtemps: Raïssa était au dessus de moi, et, bien entendu, moi
jétais en dessous delle. Nous léchâmes, aspirâmes et avalâmes tout le jus quelle et moi
produisions en grande quantité. Jétais au Paradis : un paradis différent de celui que javais connu
avec mes hommes Mouloud et Mohand, et même avec Rachid, mon mari. Celui dans lequel mavait amené
le cunnilingus de la femme était plus calme, plus doux, moins violent et moins brutal. Mais le
plaisir que je prenais était aussi intense ! Je gigotais pour frotter plus fort ma chatte sur la
bouche gourmande de Raïssa ; elle en faisait de même sur la mienne. Je sentais arriver lorgasme.
Cétait la même sensation que mavait procuré mes deux amants quand ils mavaient emmenée vers les
cimes du plaisir : le cur qui battait la chamade ; le souffle qui devenait de plus en plus court et
qui donnait limpression de manquer dair ; la sensation que le monde tourbillonnait autour de moi
et me précipitait vers des profondeurs abyssales; et cette étrange impression dêtre très proche de
lévanouissement.
Et Raïssa était dans le même état que moi. Nous déchargeâmes ensemble, chacune dans la bouche de
lautre. Je coulais comme une fontaine et mon amante en faisait de même. Nous bûmes goulument,
jusquà la dernière goutte, tout le jus que nos chattes avaient produit. Puis nous nous affalâmes,
rassasiées et heureuses, gardant pendant un long moment nos têtes entre les cuisses où elles étaient
fourrées. Ce fut le moment que choisirent les hommes pour se mêler à nous.
Mohand prit sa femme par les hanches, la força à se mettre à quatre patte sur le canapé et entreprit
de la tirer en levrette. Mouloud en fit de même avec moi. Je ne savais pas dans quel état était
Raïssa, mais moi jétais morte de fatigue. Au moment où Mouloud me força à me mettre en position de
levrette, jétais presque déçue : je me disais que je nallais rien ressentir et surtout, que je
nallais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes au moment où le gourdin de
Mouloud pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de lhomme tirer sur mes hanches
pour une pénétration à la hussarde, lexcitation et le désir revinrent en trombe. Jeus un autre
orgasme aussi puissant que les précédents. Et Mouloud aussi ! Et Raîssa aussi ! Et Mohand aussi ! Le
miracle de lérotisme, me dis-je !
Quand nous quittâmes lappartement - il devait être près de minuit - Mouloud et moi étions sur les
genoux. Mais tellement heureux ! Il me déposa devant chez moi. Je pensais trouver Rachid entrain de
dormir. Mais non ! Il était dans la chambre, allongé, faisant semblant de lire je ne sais quelle
revue.
- Tu ne dors pas encore ?
- Non, je tattendais ! Je suis impatient que tu me racontes ta soirée avec Mouloud et ses
amis. Ça a été bien ? Tu as pris du plaisir ? Tu as beaucoup joui ? Raconte !
- Demain ! Je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout ! Tu es déçu ?
- Non mais je veux vraiment que tu me racontes. Je veux tout savoir sur les sensations que tu
as eues ; sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu ne tes pas lavée jespère ! Dis-moi que tu
es encore pleine du sperme de tes amants ! Dis-moi que tu vas me laisser voir ! Toucher ! Lécher !
Viens mon amour ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
Les paroles de Rachid avaient eu sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Même morte de
fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se
comporta en amant vraiment à la hauteur. Je neus aucun besoin de simuler lénorme jouissance quil
mavait procurée, en me léchant la chatte et lanus et en avalant toutes les sécrétions qui y
étaient restées. Et en me tirant comme un taureau !
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